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Je créé un nouveau fuseau pour parler de la nouvelle "La Tempête", ne voulant pas "interférer" avec le texte
La nouvelle : https://www.jrrvf.com/fluxbb/viewtopic.php?id=7752
Tout d'abord, merci Elendil de nous partager ici tes écrits.
Ce que tu annonces me/nous donne très envie de découvrir ta prose !
Envie qui se confirme à la découverte de ce prélude que nous décrit une scène très forte, puissamment évocatrice de la puissance des éléments.
Ca y est, je suis dans l'histoire, j'attend la suite :)
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Ah ben moi aussi, capté, j'attends la suite (les suites mêmes, au vu de tout ce qui a déjà été mis en place) de notre autre cher ami victime du vice secret qui ne l'est plus, secret ;-) !
S.
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Merci pour ces commentaires flatteurs, je suis très touché.
Pour la suite, comment dire ? Je ne sais pas précisément ce que je pourrais publier hic et nunc. La seule novella « achevée » (ou presque, disais-je) se passe 77 ans après le court récit que vous venez de lire. Ce qui n'empêche pas qu'on y retrouve un des personnages dudit récit... Enfin, d'une certaine manière. Mais avant d'envisager de le publier, il faudrait que j'écrive le texte qui doit lui servir de pendant « beowulfien ».
Quant aux textes qui sous-tendent la trame d'ensemble, ils sont nettement plus dans le goût du Silm. en terme de compression temporelle et de style de narration. Je ne suis pas sûr qu'ils aient vocation à être publiés sous cette forme.
Cela dit, puisque cela vous intéresse, je vous invite à surveiller vos boîtes mail.
Bon dimanche de la Pentecôte !
D.
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Bravo ! Tu décris encore mieux les tempêtes que Patrick O'Brian.
J'attends également la suite des aventures du passager et du nouveau-né.
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Chère Eva,
Merci pour ton message. Je te réponds en privé.
E.
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Elendil a écrit :[...] bien que la langue dont je me sois principalement inspiré en la matière n'ait rien à voir avec le finnois.
De quelle langue s'agit-il, alors ? ;-)
Amicalement,
B.
Principalement, mais non exclusivement, le lituanien, notamment pour une bonne part de la phonologie -- quoique j'ai aussi regardé du côté du tchèque --, de la déclinaison des noms (y compris la notion absolument fascinante de groupes d'accentuation), et de la conjugaison des verbes -- bien qu'à ce sujet, d'autres langues aient joué un rôle, notamment le latin. La syntaxe suit un modèle SVO qui est tellement classique qu'il est difficile de le rattacher à une langue en particulier.
La seconde de mes langues, pour l'heure bien moins développée, mais qui tient un rôle considérable dans la novella que j'ai terminée, s'inspire quant à elle très significativement du guèze et de l'amharique (du moins à ce que j'ai compris de ces langues...) Quant à la troisième, c'est une véritable famille dont je compte développer trois ou quatres branches, mais je n'en suis qu'à esquisser la phonologie de ses différents rameaux.
E.
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Merci Elendil !
Je m'interroge sur cet aigle planant dans le ciel...
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Je n'ai pas affirmé que c'en était bien un. Disons que la scène finale a au moins un témoin.
Enfin, si l'on en croit Galdamir, fils de Dažantir, l'auteur de notre texte. L'éditeur de celui-ci est incliné à n'y voir là qu'une adaptation entièrement fictionnelle d'un récit qui était déjà légendaire 1500 ans plus tôt. A moins que Galdamir ait pu plonger son regard dans l'Inžilsaɣ, évidemment...
E.
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Ça se complique !
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Bon, un peu de contexte, alors.
E.
P.S. : Je ne vois aucun souci à ce qu'on discute ici du second texte aussi. Les deux sont étroitement liés, de toute manière.
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Chouette, une cosmogonie !
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Incidemment (©Elendil), je note qu'une recherche sur Gogol/Google du nom « Ballaï » donne, déjà, une occurrence jrrvfienne en bonne place dans les premiers résultats...
L'introduction d'une dose d'IA dans le moteur de recherche de Gogol aurait-elle remise en avant une visibilité du forum de JRRVF, visibilité que je croyais volontairement limitée depuis plusieurs années (pour éviter marabouts et autres brocolis, notamment) ? Cela expliquerait peut-être par ailleurs l'apparation de « profils IA » en ces lieux depuis quelque temps...
Amicalement,
B.
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Merci Elendil pour le contexte .
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Bon, je recule devant la feuille blanche, aussi ai-je consacré l'essentiel de ces derniers jours à terminer ma grammaire du kúlin (il fallait revoir un certain nombre de détails phonologiques, mettre au net la conjugaison et formaliser les tournures interrogatives). Et du coup, une fois cela terminé, j'ai voulu faire un petit essai de mise en pratique. Essai plutôt concluant, je trouve, et que je partage donc ici.
Il y a évidemment un contexte derrière cette illustration, mais comme elle est en rapport avec ma première nouvelle, tout ce que je puis vous dire pour l'instant est qu'il s'agit du tombeau de Senfa (orthographié « Senpha » dans la frise, puisque l'alphabet kúlin classique ne connaît pas le « f »).
E.
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C'est très beau !
Les deux runes en bas à gauche, c'est de l'angerthas ? c'est la signature ? (DB ?)
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Ce n'est pas de l'Angerthas, mais des runes germaniques tout ce qu'il y a d'historiques. Plus précisément, c'est du futhorc (ou du futhark ancien : pas de différence pour ces deux runes). C'est effectivement ma signature : DB, comme tu l'as deviné.
E.
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& le personnage, c'est Oriab ?
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Oui, bien sûr.
Mais sans doute pas lors de la cérémonie décrite au milieu de la nouvelle, vu qu'elle porte un vêtement traditionnel nobas. Sans doute faut-il y voir là une scène de commémoration qui se déroule immédiatement après la fin du récit.
E.
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