Vous n'êtes pas identifié(e).
Pages : 1 bas de page
Un peu comme ici, je me permets de faire un appel au peuple (et comme des questions de ce genre peuvent se reposer, j'ouvre un nouveau fuseau).
Je suis en train d'éditer le texte d'un essai sur la mémoire en Terre du Milieu.
Son auteur nous as quitté récemment, et elle n'est plus là pour référencer quelques derniers détails — liés à sa mémoire justement.
Voici un premier passage que je n'arrive pas à référencer :
(...) la tragédie des Enfants de Húrin, dont on sait, d’après les Contes et Légendes Inachevés, que même dans leur mort ils durent peiner et errer jusqu’à ce (...) qu’ils soient glorifiés « comme des Valar rayonnants »
Hors ligne
j'ai pensé à ce passage dans "the lost road" :
When the world is old and the Powers grow weary, then Morgoth, seeing that the guard sleepeth, shall come back through the Door of Night out of the Timless void; and he shall destroy the Sun and Moon. But Aërendel shall descend upon him as a white and searing flame and drive him from the airs. Then shall the Last Battle be gathered on the fields of Valinor. In that day Tulkas shall strive with Morgoth and on his right hand shall be Fionwë, and on his left Turin Turambar, son of Hurin, coming from the halls of Mandos; and the black sword of Turin shall deal unto Morgoth his death and final end; and so the children of Hurin and all Men be avenged”
On y voit que Turin n'a pas quitté "les cercles du monde" car il est présent en Arda lors de la bataille finale et y est le quasi égal de Tulkas et peut donc être considéré comme "glorifié" comme un vala. Mais cette citation ne vient pas des CLI et ne concerne que Turin, il faut donc probablement chercher ailleurs
Hors ligne
Je suis presque certain que c'est une confusion entre Contes et légendes inachevés et Contes Perdus, dans lesquels il est dit à la fin du conte de Turambar que (p. 404-406, version compacte Bourgois) :
Ùrin et Mavwin allèrent en Mandos, et Nienóri ne s'y trouvait point et Túrin leur fils non plus. Turambar suivit en effet Nienóri le long des noirs sentiers qui mènent aux portes de Fui, mais Fui ne voulut pas leur ouvrir, et Vefántur non plus. Pourtant, maintenant les prières d'Ùrin et de Mavwin parvinrent même jusqu'à Manwë, et les Dieux eurent pitié de leur destin malheureux, de sorte que tous deux, Túrin et Nienóri, entrèrent dans Fôs'Almir, le bain de flammes, tout comme le firent Urwendi et ses demoiselles en des âges révolus précédant le premier lever du Soleil, et ainsi furent tous leurs chagrins et leurs taches lavés, et ils demeurèrent comme des Valar lumineux parmi les êtres bénis, et maintenant l'amour de ce frère et de cette soeur est très doux ; mais Turambar en vérité se tiendra à côté de Fionwë au moment de la Grande Ruine, et Melko et ses dragons maudiront l'épée de Mormakil.
Hors ligne
Bravo Vivien !
C'est cela, sans le moindre doute !!
Merci beaucoup (à toi aussi jean ;))
Hors ligne
Hé beh, ça n'aura pas traîné ! Très fort Druss !
Hors ligne
En efffet.
Et puis-je abuser, cher Druss, en te demandant la pagination exacte de « comme des Valar lumineux » ?
Hors ligne
Sans indiscrétion, qui est cet auteur "qui nous as quitté récemment" ? C'est quelqu'un que nous connaissons ?
Hors ligne
En efffet.
Et puis-je abuser, cher Druss, en te demandant la pagination exacte de « comme des Valar lumineux » ?
Tu fais bien, j'ai fais une erreur de pagination sur la citation, c'est p. 404-405, et précisément p. 405 pour l'expression des Valar lumineux.
Hors ligne
Merci beaucoup à nouveau Druss !
@Isengar : Bien qu'elle ait fait un (tout) petit passage sur JRRVF il y a quelques années (elle a d'ailleurs toujours apprécié te lire ;)), personne ici ne l'a connue. Jusqu'à ce que je lui fasse suivre (j'avais gardé souvenir de ses interventions) mon travail sur l'espérance. De là, une longue correspondance, une amitié nouée, et le projet partagé du volume actuellement en cours de préparation au Dragon Brumeux ... pour lequel me voici amené à éditer son travail (l'essai évoqué supra). Je n'en dirai pas plus aujourd'hui ; son essai parlera pour elle.
Hors ligne
Si le jeu vous dit toujours, voici deux nouvelles références manquantes qui me mettent en difficulté.
La première était censée être dans l'Akallabêth. Mais je finis par me demander s'il s'agit bien d'un extrait ou si mon amie n'a pas utilisé les guillemets en guise d'emphase tout simplement.
[Le Meneltarma] est éteint et silencieux, « vierge de l’art des hommes » (ref ?). Il reste inviolé jusqu’à la Submersion, et son sommet, dit la légende, reste comme une île dans l’Océan.
Quant à la seconde, j'étais persuadé la retrouver dans le dernier chapitre des Havres Gris du SdA, et puis non.
Elanor est comparée aux Elfes : « beaucoup dirent qu’elle ressemblait d’avantage à une jeune fille elfe qu’à une hobbite » (ref ?)
Jérôme
Hors ligne
Pour la "toute-Belle" Elanor, c'est davantage dans l'appendice B qu'il faut chercher (dans la note n°8 des jours mémorables de la fin du 3ème Âge)
Pour l'autre référence, je suggèrerais d'aller farfouiller dans les CLI mais je ne suis pas sûr ??
S.
Hors ligne
A propos de Meneltarma, ça ressemble à de la paraphrase car ça s'approche de la formulation de la Description de l'Île de Numenor des CLI (Silm/CLI, p. 552) :
...mais il demeura inviolé durant toute l'Histoire de Numenor. Point d'édifice, point d'autel dressé là, pas même un amoncellement de pierres brutes [...] Au flanc de la montagne sacrée, personne, jamais, ne mania d'outils ou d'armes ; et personne ne pouvait prononcer une parole sinon le Roi.
Hors ligne
Le thème est bien dans l'Akallabêth (dernier commentaire du chapitre) mais pas sous la même forme : " Beaucoup des exilés croyaient que le sommet du Meneltarma, le Pilier du Ciel, n'avait pas sombré à jamais, qu'il se dressait à nouveau sur les vagues comme une île solitaire perdue sur l'océan;..."
Hors ligne
Merci François, pour Elanor ! :) :) :)
Ach ... J'étais allé aussi faire un tour dans les appendices, mais de façon négligée, le fait est !
Pour la description du Meneltarma, la référence de Druss me paraît très intéressante.
Là, par contre, pas d'excuse pour moi : il a fallu que je lise l'invitation de Maître Silmo à me tourner vers les CLI pour m'y rendre ; j'avais complètement oublié la « Description de l'île de Núnmenor » ! En plus au moment d'écrire, Druss me coupait l'herbe (du Meneltarma) sous le pied. ;)
Et Silmo a raison de rappeler la fin de l'Akallabêth (la chute de la chute, quoi, hum ... désolé) : mon texte se référe visiblement aux deux.
Hors ligne
La référence trouvée par Druss est probablement la bonne, surtout si on se tourne vers la VO (qui a dû être traduite directement sans passer par la VF) :
For the summit was somewhat flattened and depressed, and could contain a great multitude; but it remained untouched by hands throughout the history of Nŭmenor. No building, no raised altar, not even a pile of undressed stones, ever stood there; and no other likeness of a temple did the Nŭmenoreans possess in all the days of their grace, until the coming of Sauron. (UT, Houghton Mifflin, 1980, p. 166)
Hors ligne
La plupart des extraits du Silm ont en effet été traduits directement.
Cela colle bien !
Hors ligne
Plus difficile il me semble, maintenant :
Aragorn semble tout du long être une anamnèse de la gloire de jadis, « ce passé perdu à jamais » (ref ?) qui émouvait tellement Tolkien, mais enrichi de la beauté supplémentaire du temps et de la distance.
Hors ligne
Ça sonne comme du Humphrey Carpenter, non ?
Mais pas de livre sous la main pour le moment...
Hors ligne
je n'ai pas les livres avec moi, mais si j'étais toi, je jetterais un coup d'oeil sur les CLI dans le chapitre consacré à l'histoire de l'Elessar
Hors ligne
Deux bonnes idées.
Mais si j'ai bien cherché, ce n'est pas là non plus.
Hors ligne
Peut-être :
« L’absence de ce sentiment n’est qu’une hypothèse au sujet des hommes du passé perdu (men of the lost past), quelles que soient les confusions dont puissent souffrir les hommes d’aujourd’hui, dégradés ou abusés.
(Tolkien, note G de Faërie, dans FAT, p. 150)
Tolkien développe son propos au sujet « l’esprit des hommes du passé sans annales » (the minds of men of the unrecorded past) et du « vif sentiment de cette séparation » entre nous-mêmes et les animaux (FAT, p. 131).
Tolkien mentionne au moins à deux reprises « the unrecorded past », cette partie du passé perdu à jamais puisque sans annales pour en témoigner, dans Of Dwarves and Men (HoMe XII, p. 3310, à propos des Hobbits et p. 317, n.4, à propos de la théorie probable d’une influence du Khuzdul sur les langues des Hommes)
Egalement :
« Nous ne connaissons le sens “originel” d’aucun mot, encore moins dans le sens de son élément premier (i.e. la partie qu’il partage, ou semble partager abec d’autres mots apparentés ; ce qu’on appelait autrefois sa “racine”) : il y a toujours un passé perdu (there is always a lost past). »
(Tolkien, Lettres, no209, p. 379 = Letters, p. 268)
S.
Hors ligne
Il y a aussi le chant de Sam dans les brouillons du chapitre de la Tour de Cirith Ungol :
«But here I sit alone and think
of days when grass was green,
and earth was brown, and I was young:
they might have never been.
For they are past, for ever lost,
and here the shadows lie
deep upon my heavy heart,
and hope and daylight die.»
(HoMe IX, p. 27)
Il n'est pas question de « passé perdu à jamais » mais de « (jours) passés, perdus à jamais ». Toutefois, la référence (si référence il y a) semble renvoyer non pas au passé vécu d'un homme mais à l'histoire d'un peuple, à ce « passé lointain [qui], telle une toile de fond ornée de multiples figures, est toujours présent derrière la scène » (MCE, p.98), un « passé très lointain à plusieurs niveaux, naturellement accompagnée d’une mélancolie noble et austère » (MCE, p.65, n.21) que Tolkien évoque très souvent dans Les Monstres et les Critiques et qui alimente l'un des deux désir fondamentaux de Faërie, créant « cet enchantement créé par la distance, surtout dans le temps» (MCE, p.147).
Hors ligne
Bravo Sosryko !
À relire ce passage et tes derniers apports, je commence à douter que l'expression soit effectivement référencée telle quelle, mais je pourrai utilement renvoyer vers MCE.
Allez, nouveau défi (sorte de SdA Action Quizz ;)) pour ceux qui le veulent :
Beren et Lúthien « sont morts comme Mandos l’avait prescrit » (ref ?) mais nul ne sait où est leur tombe (et encore moins ce qu’ils se sont dit).
Ça ressemble beaucoup à l'introduction du chapitre 20 du Silmarillion ; pourtant le passage a priori cité ne s'y trouve pas.
J'ai re-parcouru le Lai de Leithian, le Silm, les CLI, le SdA et les Lettres, mais sans succès pour ma part.
Si quelqu'un a une idée ...
Hors ligne
Certainement HoMe
« […] et les Elfes dirent : “Lúthien et Beren sont morts tel que Mandos l’a prescrit.”
[…] and the Elves said: “Lúthien and Beren are dead as Mandos doomed.” »
(Tolkien, « Les premières annales du Beleriand », dans la Formation de la Terre du milieu, Bourgois, 2007, p. 334 = HoMe IV, p. 307)
mais aussi : (Tolkien, « Les nouvelles annales du Beleriand », dans la Route perdue, Bourgois, 2008, p. 365 = HoMe V, p. 141)
Hors ligne
Hé bé ! — Merci :)
Bon alors maintenant, une vraiment dure :
C’est en raison de la Pitié qu[e Lúthien] est exaucée, de même qu’Eärendil plus tard, sera mû par la détresse et la compassion et exaucé par la miséricorde. C’est la miséricorde qui permet de trouver la Voie Droite vers l’Ouest véritable, « à l’Ouest de la Lune, à l’Est du Soleil » (ref ?).
Hors ligne
Non ! Non ! C'est bon :) : HoMe II, p. 272 !!
Avec la première version qui donnait pour le vers en bleu :
Hors ligne
Par contre, quelqu'un aurait-il la pagination correspondante du Livre des Contes perdus en un seul volume (Bourgois, 2001, 698 p.) ?
Hors ligne
P. 571-572, Camarade
La traduction de "West of the Sun, east of the Moon" se trouve en haut de la page 572.
I.
Hors ligne
Merci Is' :)
Et merci *beaucoup* à tous.
Votre aide me touche et me soutient dans ce travail. J'espère que le texte vous intéressera ...
Hors ligne
Bonjour à tous,
Je suis arrivé au bout.
Demeurent pour moi trois dernières difficultés.
La première concerne l'étymologie du nom de Frodon :
[Lorsque] Frodo part dans l’Ouest [...] ce n’est pas à proprement parler un passage « au-delà des Cercles du monde », puisque Tol Eressëa, tout comme d’ailleurs Valinor, bien que cachés, sont compris à l’intérieur d’Arda. Mais ce sont des lieux sanctuaires, des lieux bénis qu’aucun mal ne peut toucher en profondeur, et où Frodo pourra trouver la paix (c’est aussi une étymologie possible de son nom (ref ?)) : la pacification et la purification de sa mémoire.
La deuxième intervient juste après une citation du Valaquenta, un passage sur Ulmo, où en particulier l'on nous dit que le Vala parle à ceux qui demeurent en Terre du Milieu « par des voix qui sont entendues seulement comme la musique de l’eau » (SCLI, p. 18). Mon amie poursuit en écrivant :
L’eau rappelle aux hommes « quelque chose qu’ils ont oublié » (ref ?), une mémoire à la fois bénie et enfouie au-delà de toute mémoire.
Pour la troisième en revanche il s'agit bien, à l'évidence, d'une citation :
C’est le chemin de tous les « faiseurs de légendes » « qui sur un méchant métier tissent des étoffes enluminées par le jour très lointain » (ref ?), le chemin par excellence de Frodo, qui consigne dans le Livre Rouge la Geste de l’Anneau.
Jérôme
Hors ligne
La première concerne l'étymologie du nom de Frodon :
(...) où Frodo pourra trouver la paix (c’est aussi une étymologie possible de son nom (ref ?)) : la pacification et la purification de sa mémoire.
Le glossaire de An Anglo-Saxon Reader de James W. Bright (disponible sur Hiswelokë) donne :
frōd adj. wise, prudent, skilful, experienced, old ◈ nom. sg. frōda (frōd)
Mais aussi :
frēod f. good-will, peace
ça peut répondre en partie à ta première question.
Pour le reste, je regarde
I.
Hors ligne
C’est le chemin de tous les « faiseurs de légendes » « qui sur un méchant métier tissent des étoffes enluminées par le jour très lointain » (ref ?), le chemin par excellence de Frodo, qui consigne dans le Livre Rouge la Geste de l’Anneau.
C'est issu du poème Mythopoieia :
Blessed are the timid hearts that evil hate
that quail in its shadow, and yet shut the gate;
that seek no parley, and in guarded room,
though small and bate, upon a clumsy loom
weave tissues gilded by the far-off day
hoped and believed in under Shadow's sway.(...)
Blessed are the legend-makers with their rhyme
(...)
D.
Hors ligne
L’eau rappelle aux hommes « quelque chose qu’ils ont oublié » (ref ?), une mémoire à la fois bénie et enfouie au-delà de toute mémoire.
Une possible origine de la citation dans Smith (mais sans lien avec l'eau...) : car Smith, qui a « pourtant renoncé à l’étoile » (FAT, p. 292) qui donnait accès à Faërie, avait pu en rapporter non seulement « la Fleur Vivante » (p. 280) ― qui sera conservé et transmise tel un trésor ― mais aussi un « objet d’argent [qui] ressemblait à la tige luisante d’un minuscule lis de laquelle sortaient trois fleurs délicates » (p. 290) et qui dégageaient un parfum au vertus surprenantes puisque l’objet confectionné « comme un jouet pour enfant » invitaient les adultes à l’émerveillement aussi bien qu’au souvenir : « C’est un travail merveilleux ! […] Et il y a un parfum […] une odeur qui me rappelle... qui me rappelle... enfin, quelque chose que j’ai oublié » (p. 290-291)
Hors ligne
(...) où Frodo pourra trouver la paix (c’est aussi une étymologie possible de son nom (ref ?)) : la pacification et la purification de sa mémoire.
Voir le rappel de Tolkien lui-même sur le lien entre "Fróda/Fróði/Frotho" et "la paix" dans son commentaire sur Beowulf récemment publié (p. 330-331 & n.3, p. 330).
Hors ligne
Merci, trois fois, à tous les trois !
Je n'étais pas près de trouver pour Frodo.
Pour Mythopoeia, honte à moi :).
Pour Smith, si, ça me paraît tout à fait convenir vu le contexte. Je m'y étais tourné immédiatement d'ailleurs, mais en m'arrêtant au passage du début : « it reminds me of Faery » (lorsque Smith découvre son étoile) et j'avais complètement oublié l'écho à la fin ... « of something I've forgotten » !
Hors ligne
Bonsoir à tous,
J'aurais besoin moi-même de quelques références de pages dans la traduction française du SdA, vu que ma bibliothèque est en cartons pour encore deux bons mois. Toutes les références dont j'ai besoin figurent dans le SdA en un volume édité par Christian Bourgois :
- occurrence de Naith dans II/6 « Maintenant, mes amis, dit Haldir, vous êtes entrés dans le Naith de Lórien ou l'Enclave, comme vous diriez, car c'est la terre qui s'étend comme un fer de lance entre les bras du Cours d'Argent et de l'Anduin-la- Grande. Nous ne permettons à aucun étranger d'espionner les secrets du Naith. »
- occurrences de tehtar et de tengwar dans l'App. E (plusieurs mentions des deux termes)
Merci d'avance,
Elendil
Hors ligne
Naith :
LotR 50th, p. 347 = SdA, p. 379
Tehtar : App. E, II
LotR 50th, p. 1118 = SdA, p. 1207
LotR 50th, p. 1121 = SdA, p. 1211 (x5)
LotR 50th, p. 1122 = SdA, p. 1211
LotR 50th, p. 1122 = SdA, p. 1212
Tengwar : App. E, II
LotR 50th, p. 1117 = SdA, p. 1207 (x5 ; dont "Tengwar of Rúmil" et "Tengwar of Fëanor")
LotR 50th, p. 1118 = SdA, p. 1207 (Tengwar of the Noldor)
§ "The Tengwar" : LotR 50th, p. 1119-1123 = SdA, p. 1208-1215
S
;-)
Hors ligne
À nouveau un grand merci pour votre aide dans le rassemblement des références supra.
Est maintenant achevé l'un des travaux de sr Marie-Élisabeth ... pour la gloire de ce monde.
Jérôme
PS : pour répondre enfin à la question d'Isengar ;) :
Avant de devenir religieuse, notre amie, qui travaillait à Ad Solem, avait participé à JRRVF, sous son nom de baptême, Christine.
Hors ligne
Ah donc voilà pour quelle raison je suis remercié aux côtés d'Isengar pour des références, alors que je ne me souvenais pas du tout avoir fait quoique ce soit !
Hors ligne
Pages : 1 haut de page