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Il y a une chose qui m'est venue le 24 devant mon sapin de Noël...
Certains d'entre vous connaissent mieux que moi l'histoire d'Arda. Est-ce qu'il y a des fêtes traditionnelles en Terre du Milieu, comme Noël ou Pâques...
Est-ce qu'ils vénèrent Eru à la façon dont nous vénérons nos dieux?
Si vous avez des réponses.
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En fouinant un peu dans l’appendice D du SdA , Le Calendrier de la Comté on trouve mentionné plusieurs jours de fêtes .
« Les Jours-de-Sérénité et les Jour-de-Noël constituaient les principales fêtes chômées, et des occasions de grandes réjouissances. Le Serein supplémentaire, ajouté au lendemain du Mitant de l’année, et donc le 184e jour des années bissextiles, avait nom le Très-Serein (ou l’Outre-Serein) et il donnait lieu à des festivités particulières. Le Temps de Noël durait six jours pleins, englobant les derniers trois jours de l’année et les trois jours de l’année suivante. »
« Mais en l’honneur de Frodon, on décréta que le 30 Yavannië – le 22 septembre de l’ancien calendrier -, date de son anniversaire, serait un jour de fête ; et on prévint le cas que présenterait une année bissextile, en doublant cette fête, appelée Cormarë ou Jour de l’Anneau. »
« On ignore si les gens de la Comté commémoraient soit le 25 mars, soit le 22 septembre ; mais dans le Quartier Ouest et dans les parages de Hobbitebourg la Colline, la coutume s’établit de festoyer et de danser – si le temps s’y prêtait – dans le Champ de la Fraternité, le 6 avril. Pour certains, c’était l’anniversaire du vieux Sam Gardener, pour d’autres le jour de 1420 où l’Arbre d’Or avait fleuri pour la première fois, et pour d’autre encore, c’était le Nouvel An des Elfes. Au pays de Bouc, le 2 novembre au coucher du soleil, sonnait le Cor de la Marche, et feux de joie et festivité de s’ensuivre. »
Par contre je me demande ce que les Jours de Noël peuvent représenter, est-ce qu’ils ont une signification d’un point de vue interne au légendaire ?
Lionel
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Les Portes de l'Eté, mentionnées dans les Contes perdus, fête du solstice d'été à Gondolin. Les Elfes sur les remparts attendent en silence toute la nuit le lever du Soleil pour le (pardon, "la";-) saluer de leurs chants.
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Et a Númenor, trois fois par an le Roi gagnait le sommet du Meneltarma :
« Trois fois l’an, le Roi parlait, offrant à Eru Ilúvatar des prières pour l’année à venir au temps de l’Erukyermë, les premiers jours du printemps ; des louanges à l’Erulaitalë, la mi-été ; et des actions de grâces, à l’Eruhantalë, la fin de l’automne. En ces trois temps, le Roi gravissait la montagne à pied, suivi d’un grand concours de peuple, vêtu de blanc et paré de guirlandes, mais silencieux. » (Contes et Légendes inachevés, Une description de l’île de Númenor)
Lionel
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