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Dans quel ordre vaut-il mieux lire les livres de JRRT ?
J'ai commencé par Bilbo le Hobbit, et là j'en suis au seigneur des anneaux, est-ce que je n'aurai pas lu lire le Silmarion avant (et d'autres) ?
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Tu devrais probablement avoir autant de réponses différentes qu'il y a de gens sur le forum. En fait ça dépend surtout de l'age je crois. Vers 13-14 ans, l'ordre idéal serait hobbit-sda-silm (puis le reste). De plus en plus ardu. Mais plus vieux, je ne vois pas trop la nécessité de suivre un ordre. Perso, j'ai d'abord lu le sda, puis le silmarillion, puis le hobbit.
Hal
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Ton ordre est parfait !
Le Silmarillion est plus dur que les autres, et beaucoup ne sont jamais alles plus loin que le debut parce qu'il etait trop laborieux a lire (a cause des noms, des lieux, des arbres genealogiques, des evenements, etc.), aussi, il est tout a fait preferable de commencer par Bilbo puis Le Seigneur des Anneaux.
D'autant plus qu'en ayant lu Le Silmarillion, tu vas pouvoir RElire Le Seigneur des Anneaux avec un regard nouveau, infiniment plus riche !
Lire Le Silmarillion au tout debut peut etre trop ardu et peu encourageant pour la suite (je dis ca mais c'est sans doute mon livre prefere !!!), et puis dans ce cas tu apprendras moins de choses en relisant Le Seigneur des Anneaux plus tard car tu savais deja tout a la premiere lecture (en rapport au Silm')...
Voila !
A+
Greyelm
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Tiguy, je te souhaite la bienvenue parmi nous ;-)
Je te ferai en fait la même réponse que Greyelm en conseillant tout d’abord « Bilbo le Hobbit », « Le Seigneur des Anneaux » puis « Le Silmarillion ». D’autres combinaisons sont possibles bien sûr (je ne l’ai d’ailleurs pas suivi moi-même), mais avec le recul je crois que cet ordre est l’idéal. Je pourrais ajouter que c’est cet ordre qu’ont suivi des millions de lecteurs car, chronologiquement, la sortie en librairie s’est faite dans cette manière...
Je ferai une autre remarque pour te dire que tu as de la chance d’être en train de découvrir « Le Seigneur des Anneaux ». Profites-en bien car une fois le livre fermé, tu pourras concevoir quelques regrets à n’avoir pas savouré chaque page.
Tu te poseras peut-être ensuite quantité de questions, nous sommes à ton écoute pour y répondre (si toutefois nous connaissons la réponse ;-)
A bientôt,
Cédric.
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Tout comme Cédric et Greyelm, je pense que le meilleur ordre pour lire JRRT est Bilbo-SDA-Silm-CLI.
Cependant, tout comme Halbarad j'apporterais un bémol dans cet ordre : à partir d'un certain âge, il me semble plus judicieux de lire d'abord le SDA, puis les autres dans n'importe quel ordre les CLI devant quand même être lues après le Silm).
Maitnenant, tout ça c'est de la théorie. Tout dépend de la sensibilité, de l'habitude de lecture et de la motivation des gens.
Telglin, ambigu
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Salut,
je ne sais même pas pourquoi je réponds, parce que c'est pour dire la même chose.Mais c'est l'occasion de faire un coucou à tout le monde.
Rinon
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Perso, je dirai plutôt (au risque de contredire le grand webmaster Cedric)qu'il vaut mieux lire le Sda avant Bilbo car Bilbo est plus apparenté au conte pour enfant et risque de décevoir. Voilà.
Elwen
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Je connais effectivement des personnes qui refusent de lire le SdA parce qu'elles n'ont pas aimé Bilbo, qu'on leur a fait lire au collège...
cruelle chose. Pourtant je trouve qu'il est plus facile de suivre le SdA en ayant lu d'abord Bilbo. Mais il en va de même pour le Silm. Alors l'ordre le plus facile serait peut-être SdA - Bilbo - Silm - SdA.
Quoi qu'il en soit, j'ai lu dans l'ordre Bilbo - SdA - Silm et c'est un très bon ordre si on a, en démarrant Bilbo, commencé à s'intéresser au SdA et à ce qui tourne autour.
Ce que dis Cédric est vrai, Tiguy. Savoure chaque page, parce que quand sera venue la dernière, tu regretteras de ne plus jamais pouvoir lire ce livre pour la première fois.
Sam.
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Oui Cedric et Sam, je me joins a vous aussi... c'est on ne peut plus vrai.
La deuxieme lecture (a la lumiere du Silmarillion), est un immense plaisir, mais cette oeuvre est tellement unique dans sa beaute et sa grandeur, que rien n'egalera jamais la premiere fois, plus que pour tout autre oeuvre sans doute.
A+
Greyelm
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Pour répondre à Sam, je dirais qu'en ce qui me concerne, dans le cadre de mon travail d'évangélisation, je conseille jamais de lire Bilbo en 1er (sauf si c'est des gosses que j'essaie de convertir)passque les adultes, à la lecture de ce conte pour enfants, rangent d'emblée l'oeuvre de Tolkien dans la catégorie des grosses conneries. Alors surtout pas Bilbo en 1er, sauf pour les mômes : pour eux c'est l'inverse : ils peuvent avoir du mal à se farcir le SdA direct, il vaut mieux qu'ils passent par Bilbo pour se sensibiliser. Après c'est égal. Mais je pense que lire le Silm en 1er avant est préférable, parce que les CLI et la série HoME sont plus de l'ordre du commentaire de texte que du roman. Alors je dirais SdA-Silm-CLI-HoME, et si on est furieux au point de s'être tapé HoME, lire Bilbo ensuite comme une curiosité.
Personne n'a jamais pensé à réécrire Bilbo dans un style plus..., disons adulte ? Ce pourrait être sympa...
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Merci pour toutes ses reponses...
Je savoure le SDA, j'essai de lire une page par jour, mais c'est tres difficile de resister ;)
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Loin de moi l'envie de déclencher une autre Guerre de la Grande Colère, mais rien ne m'agace autant que d'entendre parler du Hobbit comme d'un "conte pour enfants". C'est insupportable. A ce sujet, Tolkien lui-même ne perdait jamais une occasion de dire qu'il n'écrivait pas pour les enfants ce sont les enfants qui s'adaptent éventuellement à un style d'écriture, auquel cas tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Quant à réécrire le Hobbit dans un style plus "adulte"... Par les chats de la reine Berúthiel ! Désolé Denethor, j'en distingue très mal l'intérêt. Si Tolkien avait considéré que le Hobbit n'était pas à la hauteur de ses autres écrits sur la Terre du Milieu, il l'aurait sans le moindre doute complètement remanié ou carrément occulté, ce qui n'est visiblement pas du tout le cas à la lecture de ses lettres, qui mettent régulièrement en avant l'attachement qu'il avait pour ce "conte pour enfants".
Il me semble judicieux de rappeler que rien n'oblige qui que ce soit à se "forcer" à lire un ouvrage, sous prétexte qu'il fait partie d'un corpus complètement arbitraire. La lecture du Silmarillion ne procure pas du tout les mêmes plaisirs que ceux apportés par le Seigneur des Anneaux ou le Hobbit. Aussi archaïque et grandiloquent qu'il puisse paraitre (même à l'époque de la jeunesse de Tolkien), pour rien au monde je ne voudrais que quelqu'un s'amuse à réécrire le Silmarillion dans un style plus "moderne"... Il en va de même du Hobbit dont le style est très marqué par la tendance théosophiste des années 1920/1930, et qui a d'autant plus de valeur que même les enfants sont capables d'en apprécier les subtilités.
Patrice.
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Juste pour dire qu'avec Le Hobbit, qu'est-ce-que j'ai pu rigoler ;-) Alors, Denethor, par pitié, pas touche :-)
Cathy
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Cher Den, je te reconnais bien dans tes propos. Toujours bon pour déclencher une bagarre ;-). Cependant, cette fois-ci, je suis un peu de ton avis. Je ne dirais pas que le Hobbit est un conte de fées pour enfants, mais personne (même pas le grand professeur lui même ;-)) n´ira prétendre que ces deux oeuvres sont comparables en vocabulaire et en style. Peut-etre cela provient-il du fait que Tolkien, faisant partie des fameux "Inklings" dont faisait partie aussi C.S. Lewis, était un peu sous l´influence de Lewis (et réciproquement) quand il a écrit le Hobbit. En tous les cas, quand je lis le Hobbit, je retrouve un brin de ressemblance avec les Chroniques de Narnya de Lewis en ce qui concerne le style et l´utilisation du vocabulaire. En outre, il est tout a fait vrai que c´est un style beaucoup plus "enfantin" que celui du SdA, qui est beaucoup plus romancé. Et je ne parle même pas du Sil qui ressemble plutôt à une saga nordique.
Cela dit, à mon avis Tolkien s´est peu à peu rapproché du style du SdA en écrivant le Hobbit. Je pense effectivement (et ses propres dires le confirment) qu´il n´avait pas concu le Hobbit comme un conte d´enfants, bien que le début y ressemble beaucoup. Au fil de la lecture, on s´appercoit que le style change, et à la fin, c´est un style très proche du SdA. Ce "changement de pas" dans le Hobbit pourrait s´expliquer par le fait que Tolkien avait déja développé une grande partie de ce monde imaginaire que sont les terres du milieu avant d´écrire le Hobbit (en tous les cas, c´est ce dont je me rappelle; corrigez moi si je me trompe) et il n´a fait qu´intégrer le Hobbit dans la "grande histoire" au fur et à mesure qu´il l´écrivait. Ou alors, c´était intentionel et Tolkien voulait seulement marquer le changement entre l´ordinaire "paisible" (la vie quotidienne d´un hobbit de bonne famille décrite au début du livre) et le légendaire (les "aventures" et le bouleversement parfois un peu comique de toute la belle petite vie ordonnée de Bilbon).
Parcontre, Den, touche pas au Hobbit, bon dieu. Une "version adulte", non mais, c´est bien du Denethor tout craché, ca. On en a passé au bûcher pour moins que ca (´scuse, ca faisait trop longtemps que je n´avais pas laché de blague bête anti-Den *lol*).
En ce qui concerne l´ordre de lecture: j´ai assez bien aimé la suggestion de lire dans l´ordre Hobbit-Sda-Sil-CLI-SdA. On lirait le Hobbit en premier pour cause de chronologie, après on lirait le SdA une première fois pour le "feeling", le Sil et les CLI ensuite, et à la fin on relirait le SdA d´un autre point de vue avec toutes les informations données dans le Sil et les CLI en arrière pensée.
À +
Michel
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Ave,
Denethor, je ne suis pas d'accord avec ta vision de Bilbo et l'interet que tu lui portes ou ta proposition de le reecrire. Et je ne suis surtout pas d'accord avec l'idee de lire Bilbo uniquement apres avoir lu tout HoME. J'ai du mal a croire que ce n'est pas une plaisanterie. :)
Il y a en effet un elargissement du champ d'approche de l'oeuvre de Tolkien. Bilbo est le plus simple et "intimiste" dans son utilisation du temps et de l'espace. Un temps limite, un espace limite, une intrigue simple, le tout dans une atmosphere chaleureuse, agreable a suivre (donc effectivement plus facile d'approche pour les enfants que ne le sont les autres livres).
Le SdA part sur cette atmosphere pour s'elargir ensuite en un roman epique.
Quant au Silmarillion, il entre immediatement dans le style epique-mythologique, etc. Le champ s'elargit enormement ! Alors pour HoME, franchement, n'en parlons pas, car la en plus ca devient theorique, erudit, bref, ca parle de la culture et de l'histoire de la Terre du Milieu a grande echelle.
Alors faire tout ce chemin pour en venir a Bilbo... hum, ca me parait plutot illogique.
Bilbo a mon avis doit absolument etre lu avant ou apres le Seigneur des anneaux, l'oeuvre avec laquelle il a le plus de liens.
Une meilleure idee aurait ete alors de reciter le Seigneur des anneaux dans ton ordre de lecture.
Et enfin, si je pense que le cote furieux peut bien s'appliquer a celui qui devore tous les volumes de HoME, il me parait presque oxymorique lorsque l'on parle de la lecture de Bilbo...
Enfin, il ne faut surtout pas oublier que la plupart des personnes qui ont lu le SdA et qui attaquent le Silmarillion apres laissent tomber celui-ci apres quelques chapitres. Alors je ne parle pas de HoME. Et ceci, meme (et peut-etre particulierement) chez les adultes. Donc je ne pense pas que l'on puisse presenter le Silmarillion comme plus facile d'approche (ou plus agreable a lire) que Bilbo pour un adulte.
A+
Greyelm
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Si, si Tolkien a, au début, écrit Bilbo pour ces enfants.C'est écrit je ne sais plus où.
Je suis d'accord avec Denethor pour le conseiller en 1ere lecture de Tolkien pour ses enfants si on veut les "convertir".
Franchement, je ne suis pas fan de Bilbo (peut-être que l'ayant découvert après le SDA, j'ai trouvé le style trop "enfatin").Je crois même que le professeur lui-même ne l'avait pas inclu dans son Legendarium, mais a fait en sorte, en écrivant le SDA (puisqu'on lui demandait une suite), de l'intégrer dedans.
On retrouve les Hobbits que l'on ne retrouve pas dans les textes les plus anciens.
Frodo & Co commence par faire le même parcours jusqu'à Fondcombe.
Personnellement, je préfère lire "De la Découverte de l'Anneau" (Prologue, IV) ou "L'Expédition d'Erebor" (CLI,3è Age, III) que je trouve plus homogène avec le rests du Legendarium.
Mais bon tout ça c'est une histoire de goût...
Rinon
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Je respecte les goûts de chacun en matière de lecture, aussi n'est-il pas dans mon intention de "convertir" qui que ce soit aux joies picaresques du Hobbit. Je ne peux simplement que plaindre ceux qui l'ont découvert tardivement, bien après le Seigneur des Anneaux ou le Silmarillion.
Rinon : en ce qui concerne le public que Tolkien visait avec son premier ouvrage, je peux en revanche t'assurer du bien-fondé de mes propos. J'ai à mon crédit les paroles même du Professeur pour appuyer mon point de vue sur la place "légitime" du Hobbit dans son grand-oeuvre. On peut sans aucun doute critiquer son style "enfantin", mais certainement pas son appartenance au Légendaire.
Lettre 165 : « My work did not "evolve" into a serious work. It started like that. The so-called "children's story" was a fragment, torn out of an already existing mythology. In so far as it was dressed up as "for children", in style or manner, I regret it. So do the children. I am a philologist, and all my work is philological. »
Lettre 215 : « When I published the Hobbit hurriedly and without due consideration I was still influenced by the convention that "fairy stories" are naturally directed to children. And I had children of my own. But the desire to address children, as such, had nothing to do with the story as such in itself or the urge to write it. But it had some unfortunate effects on the mode of expression and narrative method, which if I had not been rushed, I should have corrected. [...] I am not specially interested in children, and certainly not in writing for them. [...] I write things that might be classified as fairy stories not because I wish to address children, but because I wish to write this kind of story and no other. »
Lettre 131 : « Some of the details of tone and treatment are, I now think, mistaken. But I should not wish to change much. For in effect this is a study of simple ordinary man, neither artistic nor noble and heroic (but not without the undeveloped seeds of these things) against a high setting and in fact (as a critic has perceived) the tone and style change with this Hobbit's development, passing from fairy-tale to the noble and high, and relapsing with the return. »
Arrêtez-moi si je me trompe, mais c'est l'essence même du Seigneur des Anneaux...
Judge Patt.
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Quelques précisions pour mettre tout le monde d'accord.
Lorsque Tolkien écrit Bilbo vers 1936, c'est bien pour les enfants, respectant le style de la littérature anglaise enfantine (le hobbit est un adorable petit rabbit cambrioleur, rien d'épique à cela ;-)).
Malgré quelques références aux "Légendes Perdues" (futur Silm), Bilbo ne fait pas vraiment partie du Légendaire et de ses récits mythologiques d'alors. C'est d'ailleurs le fils de son éditeur, Rayner Unwin, 10 ans, qui fut chargé d'en faire une lecture critique.
Ce n'est que plus tard, en trouvant enfin le lien qui devait unir le SdA au Hobbit (le simple anneau magique trouvé par Bilbo devenant l'Unique créé par Sauron, Maïa de Morgoth)et qui devait donner tout son sens à sa mythologie et parallèlement en ayant approfondi sa réflexion sur le statut du genre du conte de fées qu'il cherchait à réhabiliter (en 1940 l'essai "On Fairy-Tales " est publié), à ce moment Tolkien, je crois, semble regretter la façon dont il a écrit le Hobbit.
Il le "réécrit" donc ( "The Annotated Hobbit" recense toutes ces modifications) afin de l'intégrer dans son Légendaire et de le rendre plus cohérent, moins conte de fées style Grimm. Si qq incohérences restent, elles sont dues à Bilbo, l'auteur de l'ouvrage, car Tolkien, n'est-ce-pas, n'est que le traducteur des copies d'anciens récits qu'il a retrouvées.
Et si l'écriture du SdA (qui utilise le Silm comme background mythique) a eu des conséquences sur le Hobbit, inversement de même, le schéma narratif du SdA est une copie complexe de celui du Hobbit.
Toutes ces informations intéressantes, je les ai trouvées ici sur ce site dans un article intitulé "Bilbo le hobbit :un livre d'enfant, pour adultes" par Daniel Coulombe, mais dans quelle section ??? Je ne sais plus. Peut- être dans L'Oeuvre?
Perso, je ne trouve Bilbo pas vraiment pour les enfants. Pas assez "enfantin" ;-) un style pas assez enlevé, des épisodes trop longs, trop de commentaires et de digressions, trop de descriptions, un vocabulaire parfois complexe et le passage dans Mirkwood carrément confus ;-) Plutôt pour ado, bons lecteurs ;-) Pour les enfants je verrais les Lettres du Père Noël (charmant avec le plus des illustrations de Tolkien) ou le conte Gilles de Ham (et encore en sautant l'avant- propos), mais là on sort du Légendaire.
En fait, et je suis d'accord avec Caledfwlch, Tolkien ne visait aucunement un public d'enfants.
a+
Cathy, fane de Bilbo
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> Si qq incohérences restent, elles sont dues à Bilbo, l'auteur de
> l'ouvrage, car Tolkien, n'est-ce-pas, n'est que le traducteur des
> copies d'anciens récits qu'il a retrouvées.
Oui Cathy, j'aime bien ton point de vue ; ton approche du problème est tout à fait constructive et surtout cohérente avec la démarche de Tolkien pour "réhabiliter" Bilbo dans le reste de son Légendaire.
Expliquer les incohérences réminiscentes du Hobbit par le fait que Bilbo en est l'auteur (ou en tout cas l'auteur principal de la version "originale", le Livre Rouge de la Marche Ouest) s'inscrit parfaitement dans le cadre de la "découverte" du Légendaire par Tolkien, et dont Pengolodh développe le mécanisme dans ses excellents Cahiers.
Pat,
aussi fan de.
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