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Après une longue gestation de 16 mois, je suis heureux de vous annoncer la naissance d'un troisième chapitre de la Guivre des Vaux :o)
Les petites soeurs et les petits frères arriveront très vite...
Bonne lecture...
I.
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Hé bé... l'en aura fallu, du temps...
Enfin un texte d'Isengar comme je les aime !
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Oh, encore des suites que je vais attendre avec impatience :)
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Et hop ! chapitre 4. Nos deux investigateurs font un premier point...
I. ;o)
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Et hop ! un chapitre quint. Où Leloup rencontre un curieux personnage..
I.
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Du bois au fromage il n'y a qu'un fil :
GRUYER, adj. et subst. masc.
DR. FÉOD.
I. Adj. Seigneur gruyer. Seigneur qui bénéficie d'un droit d'usage sur les bois de ses vassaux. (Dict. XIXe et XXe s.).
II. Subst. masc. Officier royal ou seigneurial des eaux et forêts, chargé de juger en première instance les délits commis dans les bois ou sur les rivières dont il a la garde. En 79, nous [Louis XI à Maître Olivier] vous avons fait gruyer de la forêt de Senart, au lieu de ce pauvre Jehan Daiz (HUGO, N.-D. Paris, 1832, p. 510).
Prononc. et Orth. : []. Att. ds Ac. 1694-1932. Étymol. et Hist. 1247 gruier féod. (RUNK., p. 44); 1718 seigneur gruyer (Ac.). Prob. d'un gallo-rom. *grodiarius, de même sens, dér. de l'a. b. frq. *grôdi « vert (subst.) », cf. l'a. h. all. gruoti « id. », de la famille de l'all. grün « vert ». Cf. aussi verdier « officier des eaux et forêts », également formé sur le nom de la couleur. En lat. médiév., gruarii est attesté dès 1218 (DU CANGE, t. 4, p. 118a).
DÉR. Gruerie, subst. fém., dr. féod. a) Privilège royal ou seigneurial sur les bois. (Dict. XIXe et XXe s.). b) Juridiction des eaux et forêts; p. méton. lieu où s'exerce cette juridiction; ressort de cette juridiction. Donner une assignation à la gruerie, pour raison de dommage de bestiaux dans les bois (Ac. 1798-1878). C'est avec fondement qu'on attribue à la gruerie, dans bien des cantons, la cherté du bois, le dépérissement des bois (Doc. hist. contemp., 1789, p. 35). La capitainerie des chasses de Fontainebleau, de Vincennes, de Royal-Monceau, de la gruerie du parc de Boulogne (ERCKM.-CHATR., Hist. paysan, t. 1, 1870, p. 98). []. Att. ds Ac. 1694-1878. 1res attest. a) 1261 (Doc. ling. de la France, série fr., Haute-Marne, 128, 3), b) 1509 (Nouv. coutumier gén., éd. C.A. Bourdot de Richebourg, t. 3, p. 741); de gruyer, suff. -erie*; en lat. médiév., gruaria, griaria est attesté dès 1153 au sens a (NIERM.).
BBG. BRÜCH (J.). Etymologisches. Z. fr. Spr. Lit. 1925, t. 48, pp. 116-119.
GRUYÈRE, subst. masc.
Fromage de lait de vache, présenté en grosses meules cylindriques, à pâte ferme, cuite et pressée, percée de trous plus ou moins gros selon le mode d'affinage, et qui se fabrique en Suisse romande et aussi dans le Jura français et les Alpes du Nord. Gruyère râpé; morceau, meules de gruyère; les yeux du gruyère. Un gruyère, pareil à une roue tombée de quelque char barbare (ZOLA, Ventre Paris, 1873, p. 827). Soupe au gruyère, mijotée, écumeuse, filante, et caramélée d'oignon, qui était la spécialité de l'endroit (MARTIN DU G., Thib., Consult., 1928, p. 1128). Les fils du gruyère chaud (H. BAZIN, Vipère, 1948, p. 218) :Les fromages cuits, tels que le gruyère [it. ds le texte], dont le caillé, plus ou moins gras selon que le lait a été plus ou moins écrémé, est cuit, pressé, mis en pain salé et placé à la cave où il mûrit...
MACAIGNE, Précis hyg., 1911, p. 244.Rem. On dit aussi fromage de Gruyère. Un morceau de fromage de Gruyère, grand et mince comme un billet de 25 francs (GONCOURT, Journal, 1870, p. 644).
Crème* de gruyère.
P. plaisant. [P. réf. aux trous du gruyère; en parlant d'une pers.] Yeux de gruyère. Yeux sans expression. Une femme avec de bons yeux de gruyère (RENARD, Journal, 1900, p. 608). Ne me regardez pas avec ces yeux de gruyère (MORAND, Champions du monde, 1930, p. 15).
Prononc. et Orth. : []. La prononc. [] est considérée comme pop. MART. Comment prononce 1913, p. 192, ajoute qu'on entend ,,rarement`` []. C'est la prononc. donnée ds NOD. 1844. Le mot est admis ds Ac. 1762-1932. Étymol. et Hist. [1655 fromage façonné à la mode de gruière (BONNEFONS, Les délices de la campagne, p. 199 ds FEW t. 4, p. 297a)]; 1680 gruiere (RICH.). Du nom de la Gruyère, région de Suisse aux environs du bourg de Gruyères, où ce fromage a d'abord été fabriqué. Fréq. abs. littér. : 46. Bbg. AEBISCHER (P.). Gruyère. In : [Mél. Wartburg (W. von)]. Tübingen, 1958, pp. 1-12. - ARICKX (I.). Les Orthoépistes sur la sellette. Trav. Ling. Gand. 1972, no 3, p. 133. - RITTER (E.). Les Quatre dict. fr. B. de l'Inst. nat. genevois. 1905, t. 36, pp. 291-533.
Gruère, Gruyère, Gruyères
Gruerie, forêt soumise à la juridiction du gruyer ou juge gruyer, appelé aussi verdier, garde-forestier et garde-chasse chargé de juger les délits qui y sont commis. Le mot gruyer vient de l´ancien haut allemand gruoni, germanique *grônia, « vert », comme verdier vient de l´ancien français verd, même sens. Les armes du village de Gruyères, dont l´emblème est une grue, sont des armes parlantes, c´est-à-dire basée sur la paronymie de grue et Gruyères.
Etang de la Gruère (Saignelégier, district des Franches-Montagnes, Jura);
La Gruyère, noms allemands Greierz, Greyerz, district du canton de Fribourg;
Gruyère (Brogny, Haute-Savoie);
La Gruyère, Apud Gruerias en 1416, hameau (Cormoz, Saint-Trivier-de-Courtes, arrondissement de Bourg-en-Bresse, Ain);
Gruyères, de Grueria en 1144, commune et village, Les Gruyères, lieu-dit à côté de ce village (District de la Gruyère, Fribourg).
Je ne serai peut-être pas la seule à me coucher moins bête ce soir :)
Stéphanie - qui vient de planquer en catastrophe toutes ses fenêtres... "Bonjour monsieur le directeur" ;)
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Aux chapitres 6 et 7 s'ajoute aujourd'hui le 8 : "A propos de Bois Robert".
L'enquête se poursuit du côté du Chevalier mais sans vraiment apporter de lumière sur l'affaire de la mort de Perrin Baudet... Quant à Leloup l'arpenteur, il poursuit son travail.
Le récit semble se complexifier, et certains chapitres sont aussi éprouvants pour l'auteur que pour les personnages... où tout celà va-t-il nous mener...?
En attendant, quelques précisions techniques :
Le gypse extrait de la carrière de Sacquet, seigneur des Vaux, sert à la fabrication du plâtre. Il est connu depuis l'antiquité et son extraction des carrières souterraines - ou à ciel ouvert - est déjà attesté en Gaule romaine. C'est cependant à partir du dernier tiers du VIIIè siècle que la production s'intensifie, pour prendre des proportions industrielles à l'aube du XXè siècle.
Le chapitre 6 évoque une visite de la carrière dans l'état d'avancement qu'on peut supposer dans les années 1770... cette série de photos montre la cavée que je connais bien et qui a inspiré la carrière de Sacquet, mais la superficie actuelle est beaucoup plus grande et les galeries ont été élargies pour le passage des camions.
Claustrophobes, s'abstenir...
Les carrières souterraines de gypse ont été progressivement abandonnées à partir des années 60. Certaines ont connu de courtes carrières de champignonnières et depuis, elles s'endorment paisiblement sous la reconquête de la végétation, comme toutes les friches industrielles... sauf que le vide qu'elle ont laissé sous le sol provoque régulièrement de dangereux effondrements de terrains en surface.
Bonne lecture...
I. Aux chapitres 6 et 7 s'ajoute aujourd'hui le 8 : "A propos de Bois Robert".
L'enquête se poursuit du côté du Chevalier mais sans vraiment apporter de lumière sur l'affaire de la mort de Perrin Baudet... Quant à Leloup l'arpenteur, il poursuit son travail.
Le récit semble se complexifier, et certains chapitres sont aussi éprouvants pour l'auteur que pour les personnages... où tout celà va-t-il nous mener...?
En attendant, quelques précisions techniques :
Le gypse extrait de la carrière de Sacquet, seigneur des Vaux, sert à la fabrication du plâtre. Il est connu depuis l'antiquité et son extraction des carrières souterraines - ou à ciel ouvert - est déjà attesté en Gaule romaine. C'est cependant à partir du dernier tiers du VIIIè siècle que la production s'intensifie, pour prendre des proportions industrielles à l'aube du XXè siècle.
Le chapitre 6 évoque une visite de la carrière dans l'état d'avancement qu'on peut supposer dans les années 1770... cette série de photos montre la cavée que je connais bien et qui a inspiré la carrière de Sacquet, mais la superficie actuelle est beaucoup plus grande et les galeries ont été élargies pour le passage des camions.
Claustrophobes, s'abstenir...
Les carrières souterraines de gypse ont été progressivement abandonnées à partir des années 60. Certaines ont connu de courtes carrières de champignonnières et depuis, elles s'endorment paisiblement sous la reconquête de la végétation, comme toutes les friches industrielles... sauf que le vide qu'elle ont laissé sous le sol provoque régulièrement de dangereux effondrements de terrains en surface.
Bonne lecture...
I.
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tiens... kézako ? o_O
mmmh... voilà un exemple de copié-colé épiléptique typique... :o)
sorry...
I.
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C'est pas moi que tu réussiras à traîner dans ces boyeaux... brouf ! Rien que de penser au poids de la terre au dessus, ça me colle le bourdon. Je partage le sentiment du Chevalier : rien ne vaut l'air libre ! :)
S - claustrophobe et agoraphobe, deux qualités très utiles pour décliner toute invitation aux beuveries étudiantes... :)
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Un petit malheur est arrivé ce matin...
Une de mes disquette est mystérieusement devenue inutilisable.
Le problème est que s'y trouvaient les chapitres inédits de la Guivre, une autre nouvelle inédite en cours et un long pamphlet anti-jaxonien presque terminé que je destinais à votre lecture estivale.
Malgré une défragmentation opérée par une collègue du service informatique, seul un document excel sans aucun rapport avec mes occupations JRRVFiennes a pu être récupéré... tous les fichiers word sont semble-t-il perdus.
Donc, j'ai peur que la suite de la Guivre se fasse longuement attendre car je n'ai pour le moment, ni la force, ni le temps de tout réecrire... :o(
I.
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Oh nooooon !!! Bouhouhouhouhou :( Moi qui me disais : chic, un nouveau chapitre de la Guivre ! ça c'est moche... Snirf :( :( :(
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C'est dans de telles situations qu'on se rappelle Yavanna et sa tristesse... ;-(
Ne te rappelles-tu pas d'une possible sauvegarde effectuée dans un recoin de ton ordinateur, ISENGAR ? :-/
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Cher Isengar
Je compatis à ton amertume ! Pour avoir vu moi-même disparaitre définitivement des fichiers importants, je sais ce que tu ressens...
Mais après un peu de temps pour faire le deuil de cette perte (pour celui qui a travaillé avec soin sur un ouvrage, voir son travail anéanti avant qu'il ait atteint son objectif est un vrai crève-coeur), tu t'y remettras avec un sentiment fataliste de nécessité.
Du moins, nous l'espérons tous !
Plus même : nous t'en supplions ! Déjà que la (longue) pause précédente nous avait fait craindre que tu n'aies abandonné la Guivre des Vaux, promets-nous, s'il te plait, que tu y reviendras quand l'amertume sera de nouveau supportable !
Bises
Sylvie
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Ce genre de mésaventure m'a incité à sacrifier à la divinité mineure USB :D
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Re-Bises
Dame Lamberte
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Bon, trois chapitres bouclés et toutes mes notes étant irrémédiablements scratchés, j'ai entamé de mémoire un synopsis reprenant les suites de l'intrigue et le rôle de chaque personnage.
Inutile de dire qu'il manque des éléments. Certaines de mes idées directrices remontaient tout de même à 2003... pour se remémorer le tout en détail, c'est pas simple...
Mais l'histoire et les personnages me tenant à coeur, je tente tout de même le coup.
Et puis l'expérience pourrait se révéler intéressante : car, libérée du carcan de mes vieilles notes, l'histoire pourrait prendre un tournant innatendu, une sorte de nouveau souffle :o) ...
Par contre l'autre nouvelle inédite est perdue corps et biens... dommage. Je voulais vous en faire la surprise pour cet été :o(
I.
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C'est arrivé à chacun de nous mais c'est le genre d'erreur que l'on ne répéte pas... Et deux exemplaires sont un minimum. Tiens, imaginez que mon disque dur soit inutilisable et, zou, plus de JRRVF ! Bon courage Isengar, de toute manière, on sait que tu ne te laisseras pas battre par un coup du sort. Tu n'es pas un Touque pour rien :))
Cédric.
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Si tu as besoin dinspiration, je tavais déjà donné le lien vers ce dossier sur Mélusine, et celui-ci sur la Vouivre de Franche-Comté mais il y a un fil dans le forum de larbre celtique qui est très intéressant (et je ne me souviens plus si je te lavais donné :)) : forum de larbre celtique, avec pas mal de lien intéressants à fouiller.
Bon courage !
S. -- qui fera tout pour avoir la suite de l'histoire, et savoir qui est cette demoiselle aux yeux verts, qui se fond dans le décor à chaque fois qu'on l'approche :)
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Peut-être une bonne nouvelle :
Je viens d'achever un chapitre de la Guivre des Vaux tandis que le suivant est déjà bien avancé...
Mais pour le moment, je ne les publie pas tout suite. Je souhaite prendre un peu d'avance pour voir où ce récit m'entraînera. En effet, le fil que prend l'histoire s'est considérablement éloigné de ce qui me restait de l'histoire d'avant la panne fatale de disquette.
Il y a toujours un double mystère autour du meurtre et autour de cette mystérieuse fille, mais je m'éloigne de la forme traditionnelle de la "vouivre mélusinesque" prévue à l'origine.
Donc patience...
La Guivre est morte, vive la Guivre :o)
En attendant, vous trouverez ceci à votre attention ;o)
I.
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