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Est ce que quelqu'un connait un site qui parle de runes elfiques ? Ou est ce que quelqu'un peut traduire un texte en rune ?
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Je te conseille le très bon site de Didier : "Hisweloke".
Tu peux en voir l'adresse un peu partout sur le site ;-)
Les annexes du "Seigneur des Anneaux" en parlent aussi (cf. Appendice E - Chapitre II, Les Ecritures"
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Salut Marcolas et Cédric !
Je suggère également quelques liens d'intérêt :
- Tengwar (Français) (http://wwwusers.imaginet.fr/~smartin/elfique/index.htm) : La traduction du site de Dan Smith, qui explique comment écrire avec les Tengwar (en Sindarin, Quenya, Anglais), bien expliqué avec de nombreux exemples tirés des livres publiés (malgré des nombreuses fautes d'orthographe et pas de mise à jour depuis 1995).
- Tengwar (Anglais) (http://www.geocities.com/TimesSquare/4948/tengwar.htm) : Le site original de Dan Smith, avec surtout des polices de caractères à télécharger pour PC uniquement (pour mac, voir à Yamada Langage Page http://babel.uoregon.edu/yamada/fonts/tolkien.html).
- Amanye Tenceli (en Anglais) (http://user.tninet.se/~xof995c/index.html) : Un très bon site sur les Sarati et Tengwar, leur histoire, leur utilisation, ainsi que de beaux exemples de calligraphies en écriture Elfiques.
Namárië
Toko
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Salut Lambendili !
Suite à l'envoi de mes phrases sur Elfling et à leur
correction par Ales Bican, voici un petit corrigenda de celles-ci
(que de choses à dire pour quatre petites phrases !) ...
Norna ar anda ná i mallë ingolenna lambion
eldaive.
"Long et difficile est le chemin vers la connaissance des langues
elfiques".
Lastan i Lambengolmor ve hína lastala quettar Noldorion
enwinë.
"J'écoute les "maîtres des langues" comme un enfant
écoutant les mots des anciens Noldor".
Lissë ná lindë súrio olassiessen
aldaron lárnyant.
"Doux est le chant du vent dans les feuillages des arbres pour mes
oreilles".
Olwar lossië nár ve olos héndunyant.
"Les branches fleuries sont comme un rêve à mes
yeux".
Les deux premières phrases sont inchangées.
Cependant, suite à une question de ma part (à savoir
s'il était possible, dans la deuxième phrase, de
construire une forme avec man "qui" entre hína
et lasta : "un enfant qui écoute"), Ales m'a
fournit une réponse intéressante :
Il est possible de dire "un enfant qui écoute",
mais man ne pourra pas servir pour "qui", parce qu'il est un
pronom intérogatif, employé au début des phrases
pour les questions (ex. sí man i yulma nin enquantuva ?
"Qui remplira la coupe pour moi ?" dans Namárië).
En Quenya ce n'est pas comme Anglais (ou en Français)
où "qui" peut être un pronom intérogatif ou un
pronom relatif. Nous avons deux pronoms relatifs en Quenya : i
et ya. i Eru i or ilye mahalmar ea "Celui qui est
au-dessus de tous les trônes" (dans le Serment de
Círion et Eorl). Ce pronom est indéclinable. Le
second (ya) est déclinable et signifie "qui" ("which"
en Anglais). On peut donc dire hína i lasta ou
hína ya lasta "un enfant qui écoute".
Donc des versions variantes de la deuxième phrase
pourraient être :
Les principaux points de correction portent sur la terminaison
plurielles duelles et les accents dans les deux dernières
phrases :
larinyant : Lorsque un nom se termine par une
consonne, -inya est attaché. C'est à dire
qu'on utilise une voyelle de transition (un i en
l'occurence) entre le nom et la terminaison pronominale
-nya. Donc
lar("oreille")-inya("mes")-nt(datif duel).
On remarque au passage que lár perd son accent.
hendinyant : Comme pour larinyant
précédemment, le nom se termine par une consonne,
donc -inya remplace la terminaison pronominale
-nya. Le d provient de la forme plurielle normale
de hen : hendi (dans sa correction de mes
phrases, Ales suggère également une forme
contractée : henyant). Pour ce qui est de
l'accent, le mot pour "oeil" est en fait hen, et non
hén (voir Etymologies, racine
KHEN-D-E).
Merci à Ales Bican.
Namárië
Toko Salquendil
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Salut Lambendili ! Suite à l'envoi de mes phrases sur Elfling et à leur Norna ar anda ná i mallë ingolenna lambion "Long et difficile est le chemin vers la connaissance des langues Lastan i Lambengolmor ve hína lastala quettar Noldorion "J'écoute les "maîtres des langues" comme un enfant Lissë ná lindë súrio olassiessen "Doux est le chant du vent dans les feuillages des arbres pour mes Olwar lossië nár ve olos héndunyant. "Les branches fleuries sont comme un rêve à mes Les deux premières phrases sont inchangées. Il est possible de dire "un enfant qui écoute", Donc des versions variantes de la deuxième phrase Les principaux points de correction portent sur la terminaison larinyant : Lorsque un nom se termine par une hendinyant : Comme pour larinyant Merci à Ales Bican. Namárië Toko Salquendil
correction par Ales Bican, voici un petit corrigenda de celles-ci
(que de choses à dire pour quatre petites phrases !) ...
eldaive.
elfiques".
enwinë.
écoutant les mots des anciens Noldor".
aldaron lárnyant.
oreilles".
yeux".
Cependant, suite à une question de ma part (à savoir
s'il était possible, dans la deuxième phrase, de
construire une forme avec man "qui" entre hína
et lasta : "un enfant qui écoute"), Ales m'a
fournit une réponse intéressante :
mais man ne pourra pas servir pour "qui", parce qu'il est un
pronom intérogatif, employé au début des phrases
pour les questions (ex. sí man i yulma nin enquantuva ?
"Qui remplira la coupe pour moi ?" dans Namárië).
En Quenya ce n'est pas comme Anglais (ou en Français)
où "qui" peut être un pronom intérogatif ou un
pronom relatif. Nous avons deux pronoms relatifs en Quenya : i
et ya. i Eru i or ilye mahalmar ea "Celui qui est
au-dessus de tous les trônes" (dans le Serment de
Círion et Eorl). Ce pronom est indéclinable. Le
second (ya) est déclinable et signifie "qui" ("which"
en Anglais). On peut donc dire hína i lasta ou
hína ya lasta "un enfant qui écoute".
pourraient être :
Noldorion enwinë ou Lastan i Lambengolmor ve
hína ya lasta quettar Noldorion enwinë.
plurielles duelles et les accents dans les deux dernières
phrases :
aldaivë larinyant.
aldaivë est apparamment une forme correcte (on
pourrait aussi mettre un génitif : aldaron).
consonne, -inya est attaché. C'est à dire
qu'on utilise une voyelle de transition (un i en
l'occurence) entre le nom et la terminaison pronominale
-nya. Donc
lar("oreille")-inya("mes")-nt(datif duel).
On remarque au passage que lár perd son accent.
nar n'est pas accentué...
précédemment, le nom se termine par une consonne,
donc -inya remplace la terminaison pronominale
-nya. Le d provient de la forme plurielle normale
de hen : hendi (dans sa correction de mes
phrases, Ales suggère également une forme
contractée : henyant). Pour ce qui est de
l'accent, le mot pour "oeil" est en fait hen, et non
hén (voir Etymologies, racine
KHEN-D-E).
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