Vous n'êtes pas identifié(e).
Bon, si on a déjà relevé ailleurs quelques coquilles dans cette fort bonne traduction, toutes mes excuses. Sinon, p. 20, 2ème § in fine :
... l'intensité du sentiment que les hommes conféraient à ceux qui dont ils disposaient. (vo : ... and profound feeling that they gave to such as they possessed.
Le "qui" est en trop, je suppose :-)
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Up !
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Tu fais du "up" à une minute d'intervalle ?????? :-D
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Il n'y a pas d'heure pour upper ^^
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merci Dior !
bien noté
V
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J'ai noté quelque part une phrase qui n'en finissait pas et qui oubliait le verbe de son sujet en cours de route. Je vais essayer de la retrouver, mais ça peut être du fait de Tolkien lui-même.
Par contre, p. 40 , je note une petite erreur dans la note de bas de page:
"Caedmon [...] improvisa un hymne à la Création"
En religion catholique, ces hymnes là son féminins (une hymne latine n'est pas un hymne national - Je me demande même si "l'hymne à la Joie" n'est pas féminin)
=> "Caedmon [...] improvisa une hymne à la Création", normallement.
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Si l'on en croit le Robert, l'"Hymne à la Joie" de Beethoven est du genre masculin, tandis que les hymnes de la tradition chrétienne sont indifféremment du genre masculin et féminin (Ah! on croirait entendre parler du sexe des anges :-))).
Silmo
(qui vient de s'accorder 5 minutes de récréation au milieu d'une tonne de travail à boucler avant les vacances... presque pas le temps de lire JRRVF)
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bonsoir à tous,
Vinyamar : honnêtement, j'entends plutôt ici une référence au texte littéraire, au genre (cf. les hymnes de Ronsard). d'où le masculin
amcialement
Vincent
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Ahhhh, peut-être, mais je pinaille, je pinaille !
(enfin sur le coup, le masculin m'avait quand même surpris)
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