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Et un deuxième chapitre d'errance dans ces parages périlleux... Le plus difficile à trouver fut la citation en exergue, mais j'apprécie le paradoxe :) Lequel ? Bah, lisez :)
Hmm, et Therene, c'est je ; comme le titre est le seul endroit où je l'indique (et il en sera de même pour les autres chapitres qui viendront à l'envie, la mienne d'envie :)), je précise. Quoi que ça veut dire, et comment qu'ça s'prononce ? Téhréné, avec un h soufflé... pour l'hypothétique signification, je ne vais pas tout dire quand même :)
S. - a pu la neige, snif :
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Ecrire un chapitre pour les Frontières prend du temps... Le hasard joue beaucoup, et rien ne lui est laissé... Menele en est un bel exemple : je l'ai relu souvente fois, et à chaque fois j'ai pu en faire une interprétation différente. Le texte ne m'appartenant plus, ayant trait aux Frontières, on peut les considérer toutes comme justes. Je m'offusquerai seulement contre une vision freudienne qui sera forcément biaisée et fausse... Car c'est quand même moi qui l'ai écrit, et s'il faut interpréter, penser ou réfléchir à la façon d'un lac, j'aime autant que ce soit de façon vraie et simple, pas tordue et masculine (évidemment, tout ceci est à prendre au sens bachelardien :)).
J'aimerai seulement... j'ai adopté un "je" qui exige beaucoup de justesse... Si un lecteur veut bien me dire ce qu'il pense de ce "je", histoire que je vois si j'ai sû sonner juste, si le seul exercice littéraire de la page est réussi...
Bon voyage :)
Stéphanie - Nocturne en ré bémol majeur de Debussy... 5'47'' de pur délice :)
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Après des mois d'absence, de silence ou ce que vous voulez (du teeeemp je veux du teeemps !) je vous emmène de nouveau sur les Frontières... le brouillon date d'une date fatidique, dernier jour de septembre, mais ce n'est qu'aujourd'hui que j'ai eu le temps de le tapper sur ordi... Or donc, L'année revient...
S. -- l'impression d'être en apnée...
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