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Pfiouuuwww! Ben j'aurai eu du mal à l'ouvrir, celui-ci! j'espère au moins qu'il vous plaira...
Alors : dans la rubrique "mais où Tolkien a-t-il été cherché tout ça?", j'ai trouvé une jolie perle. Soit Tolkien en a eu connaissance (ce que j'ignore) soit non. Et dans ce cas, c'est un de ces cas merveilleux où la réalité télescope la fiction.
Allez voir
ça
et ça
et encore ça
Royaume fabuleux mais qui a réellement existé, beaux châteaux, dynastie royale et tout le bazar. Moi, j'ai adoré.
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Hi hi :)
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Wow :)
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Il suffit de demander au professeur ;)
Letters, n°324 :
In the matter of Gondar/Gondor you touch on a difficult matter, but one of great interest: the nature of the process of 'linguistic invention' (including nomenclature) in general, and in The Lord of the Rings in particular. It would take too long to discuss this it needs a long essay which I have often in mind but shall probably never write. As far as Gondor goes the facts (of which I am aware) are these: 1) I do not recollect ever having heard the name Gondar (in Ethiopia) before your letter; 2) Gondor is (a) a name fitted to the style and phonetics of Sindarin, and (b) has the sense 'Stone-land' sc. 'Stone (-using people's) land'.
B.
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On oublie souvent d'ailleurs de citer certaines sources externes importantes de Tolkien quant aux processus d'invention linguistique et procédés de dérivations des langues inventés. Cf par exemple cette source ou bien encore celle là. Sources d'ailleurs intarrissables, si l'on en croit H.Carpenter...
B. de passage. Pardon, professeur.
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Merci pour la référence, Benilbo. N'empèche, la coïncidence est bien jolie. :-) Faudra bien un jour que je me décide à lire les Letters ... un jour ...
Et pour les autres sources, mmmmm :-P ... j'irais bien les vérifier moi-même en personne, directement. On doit pouvoir les trouver dans une "bonne librairie"! :-D
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Certes, la bière est la troisième source d'inspiration de Tolkien après le tabac et le thé.
En effet le brave Tonton savait lire l'avenir dans les feuilles de thé, notamment pour prévoir ses succès littéraires et les heures du diner.
Ayant développé cette incroyable faculté il travailla longuement sur la lecture du passé dans les feuilles de tabac, dûment fûmées dans une pipre en terre cuite les soirs de conjonction de deux évènements : les pleines lunes et les soirées littéraires. Grâce à ce nouveau procédé, il enrichit considérablement sa mythologie en reconstituant le passé des races qu'il avait inventées (notamment les Rohirrim qui sont une création tardive !)
Non, toute blague à part, si quelqu'un a une letter sous la main pour expliquer le Rohan, ce serait terrible.
Il ne peut pas avoir ignoré la famille des Rohan, nobles bretons du Morbihan, dont le nom signifie Petit Rocher (Roc'h Bihan) et remonte au moyen âge. Et qui a donné de nombreux personnages fameux, dont un maréchal.
Mouahahahahah un maréchal de Rohan !
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Roi ne puis,
Prince ne daigne,
Rohan suis
...
logique Lambertinienne interniste : Les Rohan sont les descendants directs d'Eomer...
(OK, OK, je replonge dans le chouchenn...)
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Waow! Excellent! Faudra aussi que j'aille verifier les sources intarissables! Merci Melilot!
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Parce que c'est Elisa qui demande ;)
Letters, n°297 :
Rohan is a famous name, from Brittany, borne by an ancient proud and powerful family. I was aware of this, and liked its shape; but I had also (long before) invented the Elvish horse-word, and saw how Rohan could be accommodated to the linguistic situation as a late Sindarin name of the Mark (previously called Calenarðon 'the (great) green region') after its occupation by horsemen. Nothing in the history of Brittany will throw any light on the Eorlingas.
Le mot Rohan est une variante adoucie de la forme sindarine archaique Rochand Pays des Chevaux qui contient l'élément sindarin roch Cheval. La perte du d final provient d'une double évolution, d'abord nd > nn (conservé seulement pour les monosyllabes recevant l'accent fort, ou bien devant r, ou bien pour des noms archaïques figés), puis ensuite au troisième âge de l'adoucissement nn > n en fin de mots longs (plus d'une syllabe) (SdA Appendice E).
Pour le ch, c'est encore la faute des Gondoréens qui ne savaient pas le prononcer, cf Letter n°144.
B., sourcier *hips*.
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A la tienne !
And it's no, nay, never.... no nay never nor moooore will I play thewild rover, no nevereeer no mooooooooore !
Je pense que je pourrais trouver d'autres noms bien inspirés. Franchement il a fait exprès d'appeler un nain Farïn ?
je trouve ça vache...
M'enfin nous on a Canderel, Caramel et Moltonel des Noldor, Parafin et Elembal des sindar on se venge !
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Hihi! c'est rigolo, ça. Je connais aussi des Elfes sylvains qui s'appellent Plexiglas et Grosalas. Et deux nains barbares jumeaux nommés Güll-le-Naze et Gaz-le-Nul... mais on s'égare ...:-D
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Sans oublier le nain Giligili ;)
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Dans les cousins de Farïn on compte aussi un Malïn et un Pafïn... dont les caractères sont on ne peut plus opposés! :)
Et aussi Korïn, le seul nain qui alla en Valinor (seulement dans les manuscrits des années 30)
P.B.
en pleine lecture des LCP
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Boaf, aucun ne me fera davantage sourire que Fionwë ! :D (esprit mal placé, quand tu nous tiens !)
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