Vous n'êtes pas identifié(e).
Puis-je solliciter votre participation ? (si vous ne l'avez déjà fait !)
http://www.sauv.net/latin.php
Mj (un peu gênée par cettte audace mais confiante !)
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c'est signé Mj! Coment ne l'aurais-je pas fait, moi qui étudie les lettres classiques? ;-)
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OK aussi, MJ. Sauvons la culture!
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C'est fait aussi :-)
Feartanel, qui regrette de ne pas s'être un peu plus intéressé au latin... mais qui va s'y remettre un jour !
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et moi aussi...
Et pendant qu'on y est sauvons aussi le quenya ;o)
Lalaith,
qui a gardé le latin jusqu'en terminale, mais en prépa... Non, merci ;o)
ibi, Syphax, dum obequitant ab hostis turmis si pudore, si periculo suo...
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...et si on promouvait l'enseignement de l'espéranto au lieu du grec et du latin?...
--->Ok je sors...
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Etrange... J'ai un cours de communication professionnelle pour lequel je dois faire un exposé. Je vais promouvoir l'apprentissage des langues auxilliaires!
Greg
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Lu et signé, MJ!
je sommeillais au fonds de la classe pendant la Guerre des Gaules, mais bon, c'est le principe qui compte! ;o)
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Je ne souhaite pas paraître anti-pathique. Je sais que le latin, comme le grec, c'est important pour la culture, mais n'est-il pas préférable de privilégier l'apprentissage des langues vivantes étrangères (il parait qu'on est hyper-nul) ou aussi les langues régionales qui sont menacées de mort.
P.S.: Ce ne m'empêche pas d'être en faveur du maintien de l'enseignement du latin à titre facultatif.
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Vouloir protéger l'enseignement des langues anciennes, ce n'est pas forcément le faire au détriment des langues vivantes. Et s'il est vrai que plus un enfant apprend tôt une langue, plus il l'apprend facilement, gageons qu'il en est de même pour le latin et le grec. Quant aux langues régionales, leur disparition n'ira pas forcément plus vite que celle de la langue de Cicéron(j'en veux pour preuve que la langue de Platon, elle, est déjà bien maltraitée dans l'enseignement.)Et elles auront toujours l'avantage d'avoir un couple de petits vieux qui les enseignent à leurs petits-enfants au coin du feu.
Le latin et le grec ne sont pas qu'utiles à la culture. Connaître ces langues permet de mieux connaître le français, mais aussi d'autres langues vivantes. J'illustrerai de mon expérience personnelle : élève germaniste en LV1, j'ai eu un véritable déclic sur les déclinaisons en 5ème quand j'ai commencé le latin.
Certes, peut-être, tout le monde n'a pas "besoin" du latin ou du grec. Mais tout le monde peut y gagner. C'est une école de rigueur, une formation excellente. Et ne serait-ce qu'une initiation, un an, pour faire découvrir ces langues (surtout le latin) aux élèves me semblerait une excellente chose. L'apprentissage du latin révèle bien souvent des lacunes en grammaire française. Lacunes qui, me semble-il, passent inaperçues dans l'apprentissage des langues vivantes (à revoir lui aussi, je l'accorde. Deux heures de langue par semaine, c'est insuffisant, très insuffisant)
Que par la suite un élève qui se dirige vers les sciences s'en désintéresse, je le conçois. Quoiqu'après tout, il n'y ait pas tant de différence entre résoudre une équation et analyser une phrase latine! (là, c'est l'ex-scientifique qui parle!) Mais je trouve anormal que les élèves de section littéraire ne soient pas obligés d'étudier au moins une langue ancienne. Actuellement en hypokhâgne, je trouve quasiment "honteux" que certains élèves n'aient jamais étudié ni latin ni grec, ou ne les étudient plus. Comment se prétendre spécialiste de la langue si l'on en ignore les origines? Comment faire de la philosophie sans parler grec (et allemand!)? Comment faire de l'histoire médiévale sans latin?
Ces langues sont le terreau de notre civilisation. Et elles enrichissent celui qui les étudie. Alors, plutôt que de niveler par le bas et de prendre tous les élèves pour des ignorants, pourquoi ne pas leur ouvrir plus systématiquement toutes ces richesses? Des générations entières ont fait leurs humanités, et ne s'en portaient pas plus mal!
Vale!
Elodie
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D'accord avec Anardaiel (et les autres) pour le sauvetage de l'enseignement des langues classiques, mais d'accord aussi avec Semito pour la promotion de l'enseignement des langues vivantes étrangères.
Quant aux langues régionales menacées de disparition, ce problème n'est pas uniquement européen, il y a actuellement de par le monde plusieurs centaines de langues qui ne sont plus parlées que par quelques rares (et vieux) locuteurs. Seuls quelques ethnologues et linguistes motivés essaient encore d'effectuer un travail de sauvetage et d'enregistrement de ces derniers témoignages avant leur disparition définitive. D'autres, par contre, ont connu un revival aux cours des deux dernières décennies, et sont enseignées dès l'école primaire. Mais c'est un phénomène exclusivement local, régional. Vous n'imaginez tout de même pas qu'on puisse inscrire LA TOTALITE des langues parlées aujourd'hui ou autrefois dans le monde, dans un cursus scolaire classique!!!
En fait, c'est un peu une base de culture générale qui manque à l'enseignement. Il est de plus en plus axé sur le pratique, l'immédiatement rentable sur le marché de l'emploi, et de moins en moins sur le développement de l'intérêt et de la curiosité de l'enfant pour l'acquisition de connaissances variées, dans des domaines divers. Et pire que tout, on insiste surtout sur la performance, l'individualisme et la compétitivité : mortel à cet âge là! On voudrait démolir à vie les trois quarts de nos gosses qu'on n'agirait pas autrement (non! mais là, désolée, ça me révolte et me débecte! vraiment!)
Houm! Bien : reprenons. C'est sûr que ce n'est ni utile ni intéressant pour TOUT LE MONDE de connaître le latin et le grec, pas plus que l'allemand ou le japonais! L'idéal serait de pouvoir offrir aux gosses un large éventail de possibilités en option.
Mais là on se heurte à une autre série de problèmes.
D'abord le manque de moyens. Il faudrait créer des classes, payer des profs, tout çà pour peut-être deux ou trois élèves? Qui et comment, va payer tout ça?
Ensuite la lourdeur du programme de base. Rajouter encore des cours supplémentaires, bourrer la tête des pauvres minots qui à cet âge là ont l'envie et le droit de passer leur après-midi à autre chose qu'à étudier ad nauseam!
Enfin le jeune âge de pôv' minots eux-mêmes : illusoire de leur demander à douze ans s'ils préfèrent en option un cours de langue (ni quelle langue) ou de géo.
M'enfin bon. je ne suis ni enseignante, ni spécialiste dans le domaine de l'éducation. Ce qui précède n'est rien d'autre qu'une réflexion personnelle. Il y a certainement par ici des profs (ou des fonctionnaires de l'Education nationale ;-P) qui peuvent discourir là-dessus bien plus pertinnemment que moi.
Juste encore un p'tit mot : ce que j'ai appris de plus utile, de plus intéressant, et avec le plus de plaisir, je l'ai fait de ma propre initiative, et hors de l'école. (et toc!) :-))) (Mais bon : faut dire aussi que j'ai eu l'immense et merveilleuse baraka de connaître quelques vieilles gens, dans ma famille, qui m'ont donné le goût d'apprendre!)
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hop, je vais donner mon avis également, vu que je ne peux jamais rester spectateur d'une discussion sans m'en méler :P
Je crois que le consensus est atteint sur l'enseignement des langues mortes, latin et grec ancien, sur la base du volontariat, même si je suis entièrement d'accord avec Elodie pour dire qu'il n'est pas forcement nécessaire pour des "S", il me parait inqualifiable pour des étudiants de Khâgne/Hypok' de ne pas les avoir étudier.J'avoue que j'étais sidéré d'apprendre que des institutions comme celle-là accepter des personnes ignorantes de ces matières (comme moi quoi :P).
Melitot : Quant aux langues régionales menacées de disparition, ce problème n'est pas uniquement européen, il y a actuellement de par le monde plusieurs centaines de langues qui ne sont plus parlées que par quelques rares (et vieux) locuteurs.
=> Le problême des langues régionales est, pour moi, un tout autre débat. Mais que les fédéralistes du forum ferme leurs yeux, le vieux jacobin bonapartiste gaullien (quoique le General voulait la Decentralisation) qui sommeille en moi se rapelle à vous ;o).
Il est en effet inconcevable, pour moi, de voir l'Etat prendre en charge financièrement le (re)développement des langues régionales, celle-ci ayant toujours été un symbole, plus ou moins fort selon les régions, de communautarisme et d'exclusion pour les français non-régionaliste. Je m'explique : je vis en Alsace, dans un petit village en campagne sans être alsacien du tout (je prend cet exemple parce que celui que je maitrise le plus, il n'en est aucunement valable pour les autres régions). Si vous saviez le mal qu'on a eu avec les gens "du pays" pour qu'il nous réponde à nos "bonjour", ils faisaient même exprès dans les commerces du village de nous parler en alsacien sachant pertiennement notre ignorance...
Art.1 : La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale.
Art.2 : La langue de la République est le français.
...Et si on commencait par apprendre correctement le Français aux jeunes élèves? Certains ici sont au courant des statistiques dramatiques des tests de lecture au collège :o(
Je dis cela tout en sachant parfaitement que la richesse d'une langue régionale se mélange à la comprehension de l'histoire, du mode de vie et des coutumes de ces régions : que cela soit clair, je ne suis pas un anti-amoureux-des-régions, je ne voudrais pas que mes paroles soient mal prises par certains intervenants du forum à l'accent chantant ;).
Mais il me paraitrait logique, toujours pour moi, que les politiques de developpement des langues "régionales" ou celles des pays frontaliers soit à la discrétion des personnes individuellement, voir indirectement par les ressources propres des Régions ;o).
Melitot : Il y a certainement par ici des profs (ou des fonctionnaires de l'Education nationale ;-P) qui peuvent discourir là-dessus bien plus pertinnemment que moi.
=> Malgré le paté indigeste que je vous ai encore "pondu" ci-dessus, je concède être plutôt dans la même situation que Melitot ;o)
En ce qui concerne, le "fonctionnaire de l'Education Nationale", je crois savoir de qui on parle et je suis persuadé qu'il aurait fait un excellent prof' d'Histoire-Géo, vu le succès auprès de l'auditoire de l'histoire des "Barbares" à Paimpol ;)
Julien - Elwë Ier
Incorrigible Bonapartiste/Jacobin dans un monde de "délocalisation" et de "mondialisation" ;P
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Desolé pour la balise mal fermée, ca rend encore plus indigeste mon post :'(
Julien - Elwë qui va réviser son latin, son grec ancien et son Html nouveau :P
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(MeliLot, mein Kaiser, L-O-T, y'a pas de litote! :-) )
Je ne vais pas prendre parti sur les langues régionales : chez nous, on en a trois officielles, plus autant de variantes locales qu'il y a de patelins et c'est déjà un casse-tête! Alors, je n'ose même pas imaginer la situation en France! :-D. Et le problème que tu as rencontre en Alsace, des tas de gens le rencontrent tous les jours et dans les deux sens, le long de notre ridicule frontière intérieure. :-( (comment on fait un smiley qui se frappe le front en faisant toc! toc! ?)
Je parlais plutôt de trucs totalement improbables, comme le !kung, le tchouktche, le miao( si si, ça existe!) ou l'athapascan. :-D :-D :-D. Ca paraît plutôt rigolo, vu d'ici, mais ça fait VRAIMENT partie de la richesse culturelle de l'humanité. ...è...
C'est vrai que je vois mal l'Etat français prendre en charge leur enseignement. Ah cà ...! :-D :-D :-D
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Elwe, je ne pense pas que l'esprit de clocher auquel tu fais référence ait sa source dans la pratique même de la langue régionale, mais plutôt qu'il y trouve une façon de se manifester. Bref, c'est la personne qui est en cause, et pas la langue elle même. D'ailleurs, on retrouvera le même comportement déplaisant chez des personnes qui n'utilisent que le français. Plus généralement, il ne manque hélas pas en France de gens qui, pour parler un excellent français, n'en prêchent pas moins la haine de l'autre et le repli sur soi.
Anardaiel, ce serait bien beau si les langue régionales avaient bien "toujours l'avantage d'avoir un couple de petits vieux qui les enseignent à leurs petits-enfants au coin du feu, mais ce n'est guère le cas, et c'est précisément à cause de cette interruption de la transmission familiale que ces langues sont menacées. D'où vient que si l'on pense que cette partie du patrimoine de notre pays est digne d'estime - j'ai dans l'idée que tu devrais être d'accord sur ce point ;) - l'enseignement est nécessaire. Après, sous quelle forme, cela peut certainement se discuter - mais à l'heure actuelle, il faut signaler que les régions n'ont pas de compétence dans le contenu de l'enseignement (on peut d'ailleurs se demander si c'est souhaitable).
Bertrand
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Bertrand> mais à l'heure actuelle, il faut signaler que les régions n'ont pas de compétence dans le contenu de l'enseignement (on peut d'ailleurs se demander si c'est souhaitable).
Au vu du =#~*%£$ de bazard régnant actuellement rien qu'avec la réforme LMD (hmfcht ! j'avais dis que j'étais en vacances) pour mettre en place le futur déroulement des études supérieures, je crois que non, mieux vaux pas... encore que le problème vienne plus du ministère que des facs, mais bon... j'ai dit que j'étais en vacances !
Bref, donc pour les langues régionales, je crois hélas que les apprendre en cours est impossible... à moins d'instaurer ça en option annexe, en 'loisir', comme il se fait des 'club de chant', café philo ou catéchisme (exemple de mon ancien collège/lycée, mais je suppose que c'est comme ça un peu partout).
Quant aux langues vivantes... le désastre (spécifique ou pas à la France, je ne sais) est affligeant: pour être en Langues Etrangères Appliquées (d'accord, plus axé sur la maîtrise du langage journalistique que littéraire, mais même), je vois bien le niveau de la plupart des étudiants (ais-je dis pitoyable ? :)). Il suffit qu'une prof ai décidé de noter sans rien laisser passer (surtout pas ses fameux 'killer' qui font vraiment mal en thème) pour que les notes ne dépassent guère le 12... en partant de 0,5 (pour l'encre, sans doute). Qu'y faire ? Je vois déjà les cours de grammaire anglaise de ma soeur en quatrième, ils ont à peu près le même programme que nous... sauf que le nôtre est bien 5 fois plus long ! D'accord, je suis en fac, mais faut voir, quand même: le but est-il que les gamins apprennent une langue et sachent la parler correctement, ou qu'ils aient simplement des heures de cours qui les ennuient (là, ok, ça tient de la prof) sans qu'ils en voient l'utilité ? Moi qui aime l'anglais, ça me sidère. A me demander comment j'ai pu survivre, puisque mon programme était le même au collège-lycée (je me rappelle surtout m'être ennuyée, à vrai dire... à avancer comme un limaçon dans une classe de démotivés...).
Stéphanie - pour qui le latin n'a guère été d'une aide pour l'allemand... trop instincive sans doute pour pouvoir être rigoureuse :-
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en quatrième, ils ont à peu près le même programme que nous... sauf que le nôtre est bien 5 fois plus long !
of course, chaque chapitre est cinq fois plus long, pas le programme qui comporte autant de chapitres :)
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M'étant renseigné plus en profondeur sur la situation -et surtout l'avenir- de nos chères Lettres Classiques dans les tablettes des projets ministériels actuels, je me suis en fin de compte rué sur le site en question.
Et j'ai bien entendu laissé ma modeste griffe.
Ad augusta per angusta
I.
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Voilà, moi aussi j'ai signé. Même si le latin a été une véritable torture à partir de la seconde, il m'a quand même rapporté quelques points au bac. Et puis la solidarité entre collègues, c'est normal.
Désolée du retard quand même.
Elba
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désolé MJ...
Même avec la meilleure volonté du monde...
Je prefererai encore me faire fouetter par un balrog...
nan je rigole!
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Même si la Belgique n'en est pas encore là (le latin et le grec restent obligatoire durant les premières années de secondaire du moins dans l'enseignement catholique (je pense)) Ce serait une grande perte à mon avis que d'abandonner l'étude de ces langues qui furent celle de grandes civilisations du passé auxquelles nous rattachons tant de nos valeurs.
Mais je pense qu'il ne faut pas désespérer,
Post Tenebras Spero Luce
Ulmo (qui est de tout coeur avec toi MJ)
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Voilà qui est fait.
Dior-Cédric, toujours prêt pour une noble cause.
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Défense d'enseigner le latin et le grec.
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^^
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Bien de mois plus tard, je suis tombee sur le theme de ce fuseau. Bon, j'ai signe et j'espere que ce n'est pas perime. Toutefois, je rejoins de nombreux avis deja exprimes plus haut quant a la qualite "tout a l'emploi directement" de l'enseignement actuel. Les langues sont importantes et quitte a ne pas mettre des langues moins parlees (etrangeres, regionales...)dans le tronc commun pourquoi ne pas les proposer en options ou encourager les cours du soir ou en weekend... Bon, aller, le fuseau est vieux mais je trouvais le sujet important et j'ai signe la petition. Sur ce, au revoir et on se revoit sur un fuseau plus neuf.
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Je viens juste de prendre connaissance de cette petition, que j'ai signee bien sur!
Je trouve que le latin (meme si j'ai laisse tomber en seconde:pour les horaires ils pouvaient repasser, et le nombre d'eleves par classe pareil) est tres utile pour comprendre les langues vivantes aujourd'hui tel le francais ou l'espagnol. Je me souveiens m'etre pas mal emmeler les pinceaux en 4eme entre latin, francais et espagnol, mais c'est ce qui m'a permis de bien voir les similitudes, et d'apprecier la langue.
Claire
desolee, j'ai pas de phrases latines en reserve
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Hop ! Le nain-chevalier se réveille et prend sa plume pour signer...
Moi qui regrette seulement maintenant de n'avoir fait ni latin ni grec, je me rattrape en aidant ces langues... (et en faisant de l'italien et du hongrois maintenant....)
Pascal
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J'aimais l'idée de faire du latin...mais la manière dont il m'a été enseigné au collège m'en a dégoûté pour un bon moment!
C'est triste mais c'est comme ça....
Idril
"Bibere et edere duae mammae sunt"
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Même si la Belgique n'en est pas encore là (le latin et le grec restent obligatoire durant les premières années de secondaire du moins dans l'enseignement catholique (je pense)) Ce serait une grande perte à mon avis que d'abandonner l'étude de ces langues qui furent celle de grandes civilisations du passé auxquelles nous rattachons tant de nos valeurs.
Mais je pense qu'il ne faut pas désespérer,
Post Tenebras Spero Luce
Ulmo (qui est de tout coeur avec toi MJ)
Non,ds les écoles catholiques(où je suis),il n'y a que la première année où on est obligé de faire du latin
Après on peut ou continuer(mon choix) ou changer d'option
Deathblue,Un belge au milieu d'un tas de Français:))))
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En Belgique aussi, ces derniers temps, on a entendu des rumeurs au sujet d'une suppression éventuelle du latin dans le premier degré. Rumeurs formellement démenties, il est vrai, mais l'on ne sait jamais Alors je me permets moi aussi de donner une adresse, pour la Belgique cette fois:
http://www.latin.be.tf/
En espérant que vous signerez tout aussi nombreux,
Jérémie, dont la carrière éventuellement classique pourrait se trouver menacée:-)
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Voila Jecapitch, signe!
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Wééééééé!
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Euh, il me semble pourtant que les langues régionales comme le breton, le corse et le basque sont enseignées, du primaire au supérieur...quid de l'Alsacien?
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Nescio.
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